понедельник, 9 января 2017 г.

CLAUDIO CAPÉO Ça va, ça va.



À toi, la fille, qui me rend si / dur et si tendre,
qui sait m(e) parler / quand j(e) suis barré,
j(e) veux rien entendre.
Quand j'ai l(e) cœur sourd, 
quand j'ai l(e) cœur lourd,
des pluies de peines / et l'âme trempée 
dans de l'acier / quand j(e) suis paumé 
que tout m’enchaîne.
J'ai parfois l'âme prise / dans des filets / qui me tourmentent.
J'ai parfois l'âme grise / et si ce soir / tu me demandes

Refrain:
comment ça va, ça va, ça va ça va sur ma planète
j(e) te répondrai : « Ça va, ça va, ça va 
comme-ci comme-ça».
Les bières, les vins que j(e) bois en vain 
n'ont pas l(e) goût / de la fête
Mais tant qu'on a le cœur qui bat, qui bat ça va, ça va.

À toi, l'ami, 
le seul homme qui / m'a tenu la main
quand tous les jours / j'en faisait pour / les lendemains
Toi, dont je sais / que même blessé
t'es toujours là / pour me porter,
pour abréger / ma peine jusqu'à c(e) que /  j(e) sois léger.
J'ai parfois l'âme en crise,
Ma joie de vivr(e), qu'on me la rende!
Mon bonheur me méprise / et si ce soir tu me demandes

Refrain:
comment ça va, ça va, ça va ça va sur ma planète
j(e) te répondrai : « Ça va, ça va, ça va 
comme-ci comme-ça».
Les bières, les vins que j(e) bois en vain 
n'ont pas l(e) goût de la fête
Mais tant qu'on a le cœur qui bat, qui bat ça va, ça va.


À ceux que j'ai 
parfois négligé 
peut êtr(e) un peu libre,
pour pas déranger.
Moi, le naufragé / sur mon bateau ivre.
J'ai pas d(e) bouée, 
pas d(e) feu d(e) détresse,
j(e) suis pas doué / pour les caresses.
Mais si jamais / vous m(e) demandez 
quand tout me blesse

Refrain:
comment ça va, ça va, ça va ça va sur ma planète
j(e) te répondrai : « Ça va, ça va, ça va 
comme-ci comme-ça».
Les bières, les vins que j(e) bois en vain 
n'ont pas l(e) goût de la fête
Mais tant qu'on a le cœur qui bat, qui bat ça va, ça va.


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